C'est une richesse étrange que celle du romancier. Dans sa petite chambre, il écrit. Une douzaine de plumes, une fiole d'encre (le tarif que Victor Hugo se fixa, paraît-t-il, pour Notre-Dame de Paris), et avec cela il peut disposer de trésors innombrables. Les palais les plus merveilleux lui sont ouverts, les bijoux et les fourrures autorisés à ses héroïnes. Il ne connaît d'autres restrictions que celles de son imagination.