Destinée, une femme aux yeux éteints l’avait abordée et emmenée dans son minuscule appartement. Monique, la femme aux yeux éteints, lui avait servi un petit déjeuner copieux et offert des vêtements de sa fille, morte deux ans plus tôt d’anorexie, avant de la conduire dans un centre d’accueil pour les sans abri ni papiers.