Klarel en avait conclu que le bonheur n'était pas lié aux conditions extérieures. L'environnement pouvait certes satisfaire les besoins fondamentaux, apporter un certain confort, mais il ne rendait personne heureux. Ou les gens qui avaient un toit au-dessus de leur tête, leur nourriture quotidienne, une famille aimante n'auraient pas éprouvé une insatisfaction permanente.