Elie Faure publie dans « L’Amour de l’art » de juin 1931 un article qui déclenche des protestations indignée : il y annonce en effet, sous le titre provocateur « Agonie de la peinture », la fin d’un art qui, « débusqué de ses positions statiques par le dynamisme du cinéma et de la radiodiffusion, a cessé de représenter une utilité sociale »
… Plus loin, Elie Faure invoque « la borne posée par Derain à nos dérèglements plastiques ». C’est donc à la mission de « régulateur » du peintre qu’après bien d’autres il fait appel.