Assez souvent le ciel par quelque fausse joie
Se plaît à prévenir les maux qu'il nous envoie ;
Du moins il m'a rendu quelques moments bien doux
Par ce flatteur espoir que j'allais être à vous.
Mais puisque ce n'était qu'une trompeuse attente,
Gardez mon souvenir, et je mourrai contente.