Je n'ai jamais aimé les Romains et je ne les aimerai jamais : je n'aime ni leur religion, ni leur génie, ni leur littérature, mais j'admire leur passion d'orgueil et je suis toujours pour eux contre les faibles qui n'ont pas su leur résister. Je goûte amèrement qu'ils aient porté le dernier coup à l'Egypte, à la Grèce qui se mouraient même sans eux.