La notion de l'honneur qui émergea alors au sein d'un groupe social perçu comme très agressif a pu apparaître à ses débuts comme une forme de « contre-culture ». Le courage et la gloire des guerriers étaient certes objets d'admiration, mais la violence, voire la sauvagerie, qui les animait inspirait aussi le dégoût. Aristocrates et gens du peuple méprisaient les samourais.