L'odeur des cadavres pénétra dans ses narines. Il l'accueillit. La respira. Se dit qu'elle était la leur et donc digne d'être aimée. Que le dégoût était une vanité. Qu'il fallait aimer d'amour jusqu'à la puanteur de leur corps qui, elle-même, bientôt ne serait plus. La pestilence est encore une présence.