Confusément, cet autobus apparaissait à tous ses occupants comme une métaphore du moment. Pendant que le pays prenait l’eau de toutes parts, ce véhicule aveugle avançait vers une destination inconnue dont personne n’était certain de revenir en se frayant un chemin pénible entre les files de Parisiens affolés qui tous se sauvaient dans la même direction… (page 302)