Les grand-messes internationales comme la COP21 continuent à illusionner l'opinion en la détournant d'une logique mondiale meurtrière (la mondialisation étant une guerre économique réelle et destructrice). Dans ce contexte, la pulsion de l'accaparement et de la prédation du bien commun se trouve légitimée. La souveraineté absolue de la finance autorise de nombreux arbitraires dans le vivre-ensemble global.