En consentant à voir ainsi limitée au seul domaine sensible et expérimental la sphère de son intelligence et de son activité propres, l'homme de notre temps s'est interdit l'approche et l'accés des mondes supérieurs, c'est-à-dire de ces hautes régions de l'invisible, de ces espaces subtils, éthérés, infinis, où il tend par les aspirations les plus profondes de son âme.