Lamartine détesta, toujours La Fontaine dont il trouvait les vers « boiteux, disloqués, Inégaux, sans symétrie ni dans l'oreille, ni dans la page ". Il n'aima pas davantage Musset qu'il considérait comme un enfant. Très absolu dans ses jugement idées, l'auteur de Jocelyn. avec sa facilité parfois trop grande, ne s'appliqua jamais a entrer dans l'esprit et les pensées de surtout quand ils différaient de son propre avis.