Citation de LiliMatoline
Chapitre 1 :
Dinïil
«… – Nikolaï, ça suffit, lâche-le ! lui ordonne Zlatan.
Il s’approche de nous et pose sa paume sur l’avant-bras de notre ami pour l’apaiser. Je remarque toutefois que les traits de notre chef sont figés et qu’il nous dévisage étrangement tous les deux.
Nikolaï parvient à reprendre le contrôle et retire ses mains de ma gorge. Je remarque qu’il y a enfoncé ses griffes et que quelques gouttes de sang perlent au niveau des plaies.
– Qu’est-ce que j’ai dit, bon sang, pour que tu t’en prennes à moi ?! explosé-je.
– Tu as annoncé à Nikolaï que votre compagne était en danger, énonce froidement Zlatan.
Je me raidis d’autant plus que Zlatan a bien appuyé sur le « votre », je sens un froid glacial s’emparer de moi. Putain de merde, je comprends pourquoi Nikolaïi est furieux. Et je le suis contre moi également, mais qu’est-ce qui m’a pris de lui faire ce genre de déclaration ?
– C’est une erreur, une putain d’erreur, marmonné-je avant d’être coupé sèchement par Nikolaï.
– Faischier, Danïil, il y en a marre, d’accord, marre que tu n’assumes pas ce que nous avons fait.
– Vous allez vous calmer, tous les deux, gronde Zlatan, et m’expliquer clairement de quoi il s’agit, parce que j’avoue que j’arrive à bout de ma patience.
Il nous prend par le haut de nos tee-shirts et nous balance négligemment sur le canapé vidé de ses occupants. Le regard de Zlatan passe de moi à Nikolaï, mais je ne parviens pas à l’affronter, si bien que je baisse les yeux, tandis que mon... partenaire pousse un violent juron.
– Soraya, avoue-t-il, il s’agit de Soraya. …»
Dinïil
«… – Nikolaï, ça suffit, lâche-le ! lui ordonne Zlatan.
Il s’approche de nous et pose sa paume sur l’avant-bras de notre ami pour l’apaiser. Je remarque toutefois que les traits de notre chef sont figés et qu’il nous dévisage étrangement tous les deux.
Nikolaï parvient à reprendre le contrôle et retire ses mains de ma gorge. Je remarque qu’il y a enfoncé ses griffes et que quelques gouttes de sang perlent au niveau des plaies.
– Qu’est-ce que j’ai dit, bon sang, pour que tu t’en prennes à moi ?! explosé-je.
– Tu as annoncé à Nikolaï que votre compagne était en danger, énonce froidement Zlatan.
Je me raidis d’autant plus que Zlatan a bien appuyé sur le « votre », je sens un froid glacial s’emparer de moi. Putain de merde, je comprends pourquoi Nikolaïi est furieux. Et je le suis contre moi également, mais qu’est-ce qui m’a pris de lui faire ce genre de déclaration ?
– C’est une erreur, une putain d’erreur, marmonné-je avant d’être coupé sèchement par Nikolaï.
– Faischier, Danïil, il y en a marre, d’accord, marre que tu n’assumes pas ce que nous avons fait.
– Vous allez vous calmer, tous les deux, gronde Zlatan, et m’expliquer clairement de quoi il s’agit, parce que j’avoue que j’arrive à bout de ma patience.
Il nous prend par le haut de nos tee-shirts et nous balance négligemment sur le canapé vidé de ses occupants. Le regard de Zlatan passe de moi à Nikolaï, mais je ne parviens pas à l’affronter, si bien que je baisse les yeux, tandis que mon... partenaire pousse un violent juron.
– Soraya, avoue-t-il, il s’agit de Soraya. …»