Mon père, sans être un héros, était-il pour autant un antihéros ? Un perdant éternel ? Comme s'il n'y avait pas d'alternative.
Je n'arrive pas à le voir comme un parfait loser. Parce qu'il ne s'est jamais relâché. Il s'est toujours accroché, il est resté en mouvement. (p. 108)