"Au début des années 2000, j'ai participé à une mission internationale sur les "voix de la Shoah" que menait un collègue israélien, par ailleurs passionné de plongée. Il comparait toujours le processus de témoignage à une exploration sous-marine : il faut "égaliser" la pression avant de descendre vers les profondeurs mémorielles et "égaliser" à nouveau avant de remonter en surface."