La boutique de BD, c'était une corne d'abondance, avec des BD et des mangas à ne plus savoir où donner de la tête. J'adorais ça. L'odeur du papier embaumait toute la boutique. J'adorais ça. J'ai d'ailleurs gardé ce vieux réflexe de sentir le papier des livres que j'achète, et plus le livre est vieux, mieux c'est. Je ne sais pas si c'est bizarre ou pas.