« À Téhéran, le sexe est un acte de rébellion. Une forme de résistance. Le seul moyen pour la jeune génération de conquérir un espace de liberté. D'avoir la maîtrise absolue de son corps, l'unique chose qui leur appartienne, et qu'ils ont transformée en une arme de révolte. Tel est le revers d'années de répression sexuelle ; à force d'être obligés de mentir et de cacher leur désir en permanence, ils ont perdu l'idée d'une vie sexuelle "normale", et les valeurs qui vont avec. » (240)