Loin de Ryad et de Mokhtar, Najat prend goût aux sorties, expérimente la vie sans horaires et sans contraintes. Elle n’est plus terrorisée à l’idée de croiser son frère dans la rue dès qu’elle dévie du chemin de l’université. Elle n’est plus obligée de se retourner dans les cafés pour s’assurer qu’il n’y est pas.