Ensuite, il y a les photographes correspondants de guerre, qui se précipitent eux aussi, rejoints aussitôt par les confrères d'autres quotidiens... et qui pendant des jours... et des jours... vont attendre la victoire de sa seigneurie... Le tout pour un résultat pitoyable. Le lendemain, la même photo s'étalera à la une de tous les journaux...