Iᥣ s’ᥲρρrᥱ̂tᥱ ᥲ̀ ρᥲrtιr, mᥲιs ᥒos rᥱgᥲrds sᥱ joιgᥒᥱᥒt ᥣ’ᥙᥒ ᥲ̀ ᥣ’ᥲᥙtrᥱ ρᥱᥒdᥲᥒt ᥙᥒᥱ sᥱᥴoᥒdᥱ qᥙι dᥙrᥱ ᥙᥒᥱ ᥱ́tᥱrᥒιtᥱ́. Iᥣ mᥱ ᥣᥲιssᥱ ᥱᥒtrᥱvoιr toᥙt soᥒ ᥱ̂trᥱ ᥲ̀ trᥲvᥱrs sᥱs ყᥱᥙx vᥱrts, ᥱt jᥱ fᥲιs dᥱ mᥱ̂mᥱ ᥴommᥱ sι jᥱ voᥙᥣᥲιs qᥙ’ιᥣ sᥲᥴhᥱ toᥙt dᥱ moι.
Jᥱ voιs ᥲ̀ qᥙᥱᥣ ρoιᥒt ᥴᥱᥣᥲ ᥱst ρᥱ́ᥒιbᥣᥱ ρoᥙr ᥣᥙι. J’ᥲι ᥣ’ιmρrᥱssιoᥒ d’ᥱ̂trᥱ ᥙᥒᥱ ᥱ́ρoᥒgᥱ, jᥱ rᥱssᥱᥒs sᥱs ᥱ́motιoᥒs ᥱt jᥱ sᥙιs toᥙt ᥲᥙtᥲᥒt mᥲᥣ qᥙᥱ ᥣᥙι. Cᥱᥣᥲ ᥒᥱ m’ᥲrrιvᥱ jᥲmᥲιs, ᥴᥲr jᥱ ᥒᥱ ᥣᥲιssᥱ rιᥱᥒ m’ᥲttᥱιᥒdrᥱ, mᥲιs ᥲvᥱᥴ ᥣᥙι ᥴ’ᥱst dιffᥱ́rᥱᥒt : ιᥣ ρᥲrvιᥱᥒt ᥲ̀ mᥱ toᥙᥴhᥱr trᥱ̀s ρrofoᥒdᥱ́mᥱᥒt.
Pᥲrᥴᥱ qᥙᥱ ᥴ’ᥱst ᥱᥣᥣᥱ qᥙᥱ moᥒ ᥴœᥙr ᥴhᥱrᥴhᥱ dᥱρᥙιs toᥙjoᥙrs. Pᥲrᥴᥱ qᥙᥱ j’ᥱrrᥱ dᥱρᥙιs dᥱs ᥲᥒᥒᥱ́ᥱs ᥲ̀ ᥣᥲ rᥱᥴhᥱrᥴhᥱ dᥱ qᥙᥱᥣqᥙᥱ ᥴhosᥱ qᥙᥱ jᥱ ᥒᥱ ρᥱᥒsᥲιs ρᥲs ᥱxιstᥱr.
- Quand je t'ai vue en grande conversation avec lui, ça m'a mis hors de moi. J'ai compris à ce moment-là que j'avais perdu trop de temps loin de toi.
- Qu'est-ce que tu sous-entends ?
- Que je n'ai plus envie de lutter, ça me fait plus de mal que de résister.
Je n’ai pas le temps de comprendre ni de respirer qu’il m’embrasse. La vague est détonante, incroyablement forte. Elle me submerge d’amour, de tendresse, de force, de joie. Michael m’emporte au plus profond avec lui. Sa langue ne quitte plus la mienne et m’empêche de respirer.
«Je ferme la porte à clé et descends les volets avant de me diriger vers elle. Elle s’est soudainement tue et me regarde impatiente, je connais cette Déliah, attendant que je mette son corps en éveil. Je la soulève de sa chaise et l’assieds sur son bureau… »
"Si tu t'arrêtes à ce que tu vois, tu seras déçu, mais si tu vois au-delà tu seras émerveillé"
Nos yeux ne se quittent plus, comme si nous établissions une connexion intense, puissante.
Je n'arrive pas à me détacher de lui, de cette nuance de vert si particulière qui m'hypnotise.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis très heureuse de l'avoir près de moi. Sa présence provoque à chaque fois de vives réactions dans mon corps et en particulier mon cœur.
« J’attends sous les draps que quelqu’un vienne me retrouver pour me réconforter et me dire de ne pas avoir peur, car cela finira par passer… mais il n’y a personne… »