C’est Mao, je crois, qui a dit que faire la révolution, c’est comme chevaucher un tigre dont vous ne pourrez descendre qu’après l’avoir dompté, au risque qu’il vous dévore. Quand on a passé comme moi la barrière de la mort, on monte un tigre. Un tigre qu’on ne dressera jamais, qui finira par vous dévorer.