Mon grand-père [...] espérait qu'un jour, nos cités s'ouvriraient pour laisser plus largement entrer la verdure, la terre et les espaces sauvages, afin de rappeler aux hommes que c'est un tout petit espace de terre qui nous est imparti et que nous ne faisons que survivre dans une immensité qui peut reprendre ce qu'elle a donné aussi facilement qu'elle peut déchaîner son souffle sur nous ou nous envoyer la mer nous dire de ne pas crâner.