« Peut-on être assez superficiel pour penser que la Nouvelle-Calédonie, placée sur une route maritime stratégique et peuplée de 140 000 habitants (le sixième d’un département moyen français) puisse demeurer indépendant après le départ de la France et ne pas tomber sous l’influence dominatrice d’une des grandes puissances qui s’affrontent dans le monde ? »