Je ne nie pas qu'il y ait une sorte de plaisir canaille à se bannir soi-même, à rejoindre le maquis des malséants, des prends-ça-dans-ta-face plutôt que rester dans les rangs. Mais la sensibilité du lecteur n'est pas une maladie : c'est précisément mon rôle de l'exploiter, si possible de la devancer, de m'en servir comme d'un levier, et non de la ménager.