"J'ai dit "buona sera" à ma belle Italienne et j'ai découvert le dortoir du refuge.
Juste l'enfer. Il y avait là une quinzaine de mâles qui avaient transpiré et ne s'étaient pas lavés. Ils avaient marché toute la journée dans des chaussures fermées. Ca m'a fait penser à la cage des fauves du zoo de Vincennes."