Alors j’écris. Et je goûte de rhums macérés bourrés d’épices et de fruits. Ici, au Corto, sous le crâne du géant je suis dans un cabinet de réflexion pour fouiller les entrailles de la Terre, où, en compagnie d’alcools parfumés et brûlants comme un sang de dragon, je taille de petites pierres qui font là mes poésies de Biscarrosse.