Douceline lut la Vie des Saints, emmagasinant des noms étranges qui lui revenaient aux oreilles, quand elle somnolait, tels que des sons de cloches : un nom entre tous, sonnait, plus bruyant que les trois cloches des grands dimanches, sonnait et quatrissonnait dans sa cervelle : Pé-hor-Pé-hor-Pé-hor-Pé-hor.