On a parfois le bonheur endormi au creux de la main. Et on le laisse filer, comme si être heureux était plus difficile que fuir. On abandonne, on se déchire, on se quitte puis on essaie d'avancer et d'oublier. C'est un étrange ballet après une rupture, un jeu de chat et de souris. On s'aime, on ne s'aime plus, on ne sait plus.