Revue La grande histoire du Moyen Age

Si un roman comporte plusieurs intrigues, l'auteur essaie généralement de les regrouper avant la fin du livre. Ce n'est pas le cas dans la saga, où l'intrigue peut disparaître si elle n'est plus nécessaire. Une disparition aussi déroutante d'un personnage est parfois explicitée par l'auteur qui indique que le personnage est désormais "sortie de la saga". Un auteur scandinave a explicité ce style en le comparant à l'eau courante qui coule de plusieurs sources, et qui pourtant converrge vers un seul lieu, la mer.

Il y a plus d'un millénaire, les sags vikings, ces récirs de héros, de Vlakiries, de guerres et de créatures merveilleuses, étaient racontées dans les halls, des jardis. les grandes salles communes des demeures des comtes scandinaves. Plus tard avec l'arivée des livres, et la transcription écrite des traditions orales, furent rédigés les épopées mythologiques, à l'image de la destinée d'Odin et des autres dieux qu'une völga, une voyante, prédisait au père des dieux, ou bien la saga de Herrvo et du roi Heidrekr, ui hérita e Tyrfling, l'épée maudite.
[...] comme celle de Sigurd et Brunehilde, d'un anneau enchanté et d'un trésor gardé par le dragon Fafnir, que l'on retrouve dans un célèvre opéra de Wagner et une fameuse fresque littéraire de Tolkien...[Sigurd et Gundrun, son poème épique qui lui a ensuite inspré le Hobbit et son dragon]

Les Viking étaient un peuple en mouvement. Originaire du Danemark, de Suède et de Norvège ces hommes guerriiers et commerçants diffusèrent leur culture à travers le monde laissant ainsi leur empreinte nordique. A l''inverse, ils furent aussi influencés par les coutumes et les croyances religieuses de ceux qu'ils ont rencontrés. Cet échange riche et multiculturel est omniprésent dans les sagas et les influences de leurs voyages sont abandantes. C'est particulièrement vrai de la littérature scandinave ancienne.

Au fil du temps, les sagas des Islandais [sagas famillales] devinrent plus romantiques et incluèrent des éléments magiques, jamais vu depuis les sagas légendaires. Le folklore était inséré dans les récits, mêlants les faits avec le fantastique. La saga de Guettir le Fort, ou la Guettis saga, était truffée de figures féériques, et représentait le héros luttant contre de terrifiants fantômes et trolls monstrueux des légendes norvégiennes, une réaprobatioon de certains motifs païens.

Le poème semble alors prendre un autre tournant lorsque trois dieux aesir, quittent leut assemblée pour venir créer le premier homme et la première femme dans le monde : Ask et Embla, dont les noms signifis "Frêne" et "Orme", qui n'avaient ni dessins ni sens ni esprit. [note de Pégase Shiatsu : pour une version en français en prose, lire la série mythologie nordique, collection RBA, Odin et les neuf monde, chapitre le temps des hommes]

De la terre furent donc façonnés les nains à l'image des hommes, dont le premierr fut Mötsonir. Suivirent de nombreux autres réperrtoriés dans le catalogue des nains Nombre de noms de nains furent repris par l'écrivain J.R.R. Tolkien dans ses livres sur la terre du milieu, notemment celui de Gandalf qui sinifirait "elfe magique."

Fenrir est un loup monstrueux. Fils de loki, il fut élevé par les dieux qui espéraient le dompter et l'empêcher de semer le chaos sur le monde. Avec ses frères et soeurs, il sera convoqué par Odin, alors que la prophétie leur confère un rrôle destructeur pour les dieux. D'après celle-ci, Fenrir dévorera Odin lors du Ragnarôk.

Tout au long du XIe siècle, les islandais instruits commencèrent à consigner leur mythologies, contes, poème et récits.

Le mot "saga" vient du vieux norrois et signifie " cequi est dit", cela renvoie à la tradition orale des premiers scaldes [poètes islandais du Moyen äge] qui naraient leurs contes et légendes à un public cpativé, durant les froids mois d'hivers.

La Vôluspa : la prophétie des völur
La vôluspa fait le récit des visions d'une enchanteresse sur la création du monde et sa prophhétie pour la fin des temps et la chute des dieux.