Mondrian se sert de "De Stijl" pour lutter contre la suprématie de l'individualisme, en partie voulue par la guerre, et pour défendre l'idée de "la formation d'une unité internationale dans la vie, dans l'art, dans la culture". En suivant ce principe jusqu'au bout, l'auteur veux insister sur le fait que l'art n'est pas un fin en soi, mais un moyen d'une importance extrême et vitale.