Aussi transitoire et précaire qu’elle paraisse, l’éthique de la consolation et de la métaphore représente une perspective sensée, honnête et potentiellement émancipatoire pour reconnaître que c’est tout ce qu’il y a. Plutôt que d’appeler à la restauration d’un âge d’or, ou au réenchantement du monde séculier, elle crée les conditions de sa transformation