Alors que la distance réelle entre l’Europe et le Japon - où ils espère aboutir - est de 12 000 milles marins, Colomb retient la valeur de 2 400 milles. Cette entreprise aurait parue irréalisable si la distance réelle avait été connue. Par ailleurs, l’explorateur a noté sur son livre de bord des distances inférieures à celles qu’il estimait avoir parcourues. Il cherchait ainsi à rassurer les équipages alarmés à l’idée de trop s’éloigner de leur pays.