Le vent avait tourné. C’en était fini de la douceur aryenne pour les camarades du peuple. On leur présentait l’addition pour toutes les horreurs commises en leur nom. Ils ressentaient à présent dans leur propre chair ce qu’était un pays en proie à la guerre totale. Il n’avait plus rien de commun avec l’Allemagne, avec un commerçant du nom de Ruprecht Haas. Il avait déjà payé, et il avait tout perdu.