Je comprends les hypocrites comme l'évêque, et je comprends les fanatiques, ou du moins j'arrive facilement à prévoir leur comportement ce qui, pour moi, revient au même. Mais je dois reconnaître que je ne savais pas quoi penser de vrais croyants tels Père Veronica. Ses convictions étaient réelles, profondes. Une foi qui me troublait.