Citation de ATOS
Pour que l'Amérique blanche comprenne la signification du problème noir il faudra qu'elle soit devenue un pays plus grand et mieux trempé que nous ne l'avons encore connu. Je me dis que son passé est trop succinct, son caractère national trop superficiel, sa moralité elle-même trop imprégnée de haine raciale pour qu'elle puisse accomplir une tâche aussi vaste et complexe.
Culturellement le Noir constitue un paradoxe bien qu'il soit partie intégrante de la nation il en est exclu par toute l'évolution et le cours de la culture américaine.
A dire vrai on estime juste de l'exclure est regrettable de l'admettre librement de telle sorte que si au sein de sa culture actuelle le pays tente jamais de se libérer de sa haine raciale il se trouvera en conflit avec lui-même en proie à une crise de confusion morale et émotionnelle.
S''il est jamais amené à étudier ses relations réel avec les Noirs il sera poussé à faire infiniment plus que cela car l'attitude anti-Noirs des Blancs ne représentent qu'une part infime quoi que symboliquement significative de l'ensemble son attitude morale. L'Amérique trop jeune et trop neuve qui est la nôtre, vorace parce qu'elle se sent isolée, agressive parce qu'elle a peur, ne veut voir le monde que sous l'angle du bien et du mal de la sainteté et du vice de la grandeur et de la bassesse de la blancheur et de la noirceur. L'Amérique qui est la nôtre a peur des faits, de l'histoire , des évolutions, de la pauvreté.
Elle s'accroche au procédé facile qui consiste à condamner ce qu'elle ne peux pas comprendre à exclure ceux qui n'ont pas l'air comme les autres et elle apaise sa conscience en se drapant dans un manteau de vertu.
Suis-je en train de condamner mon pays natal? non. car j'ai moi aussi ce même défaut de caractère et je ne crois sincèrement pas que l'Amérique adolescente et présomptueuse, étrangère à la souffrance et à la peine, hostile aux passions et aux sacrifices sois prête à mettre en question ses croyances fondamentales. "
Culturellement le Noir constitue un paradoxe bien qu'il soit partie intégrante de la nation il en est exclu par toute l'évolution et le cours de la culture américaine.
A dire vrai on estime juste de l'exclure est regrettable de l'admettre librement de telle sorte que si au sein de sa culture actuelle le pays tente jamais de se libérer de sa haine raciale il se trouvera en conflit avec lui-même en proie à une crise de confusion morale et émotionnelle.
S''il est jamais amené à étudier ses relations réel avec les Noirs il sera poussé à faire infiniment plus que cela car l'attitude anti-Noirs des Blancs ne représentent qu'une part infime quoi que symboliquement significative de l'ensemble son attitude morale. L'Amérique trop jeune et trop neuve qui est la nôtre, vorace parce qu'elle se sent isolée, agressive parce qu'elle a peur, ne veut voir le monde que sous l'angle du bien et du mal de la sainteté et du vice de la grandeur et de la bassesse de la blancheur et de la noirceur. L'Amérique qui est la nôtre a peur des faits, de l'histoire , des évolutions, de la pauvreté.
Elle s'accroche au procédé facile qui consiste à condamner ce qu'elle ne peux pas comprendre à exclure ceux qui n'ont pas l'air comme les autres et elle apaise sa conscience en se drapant dans un manteau de vertu.
Suis-je en train de condamner mon pays natal? non. car j'ai moi aussi ce même défaut de caractère et je ne crois sincèrement pas que l'Amérique adolescente et présomptueuse, étrangère à la souffrance et à la peine, hostile aux passions et aux sacrifices sois prête à mettre en question ses croyances fondamentales. "
