Je grimpai sur la charrette et m’agenouillai auprès de mon petit-neveu… Alors qu’un désir fou de le voir se lever faisait ruisseler les larmes sur mes joues, je lui demandai pardon. Je ne voulais pas qu’il pensât qu’il avait fait quelque chose de mal ; un enfant ne devrait pas affronter la mort la culpabilité au cœur. Je m’apprêtais à prendre le petit dans mes bras pour le porter à l’étage, mais quelle ne fut pas ma stupeur, en soulevant la couverture, de découvrir qu’il était nu et que sa jambe droite avait été coupée en dessous du genou !