C'est du ciel, avec le regard de Dieu ou du drone, qu'il faudrait contempler cette construction pour la saisir dans son envergure colossale, baignant dans une vaste étendue de parkings. A mon échelle, l'échelle humaine, qui est aussi celle des clients qu'elle avale journellement, cette prise de conscience est impossible. La profondeur, l'ampleur du mall, restent toujours virtuelles, alors même que l'on est en sa présence, que l'on évolue dans son ventre.