Nue, allongée sur l’herbe cristallisée de givre, Vern attendait avec impatience de devenir ce qu’elle deviendrait. De la boue recouvrait ses pieds, son dos, son fessier, s’introduisait partout où cela était possible, mais elle ne s’en préoccupait pas. Dans ce mélange de terre et d’eau, la séparation entre le sol et le corps s’évanouissait.
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