Les plantes, écrit Maurice Maeterlinck, à une machinerie, à des pièges qui, sous le rapport de la mécanique, de la balistique, de l'aviation, de l'observation des insectes par exemple, précédèrent souvent les inventions et les connaissances de l'homme.
Il rapporte l'acte d'intelligence d'une racine obervée par Brandis (Uber Leben und Polaritat) qui rencontrant de radicelles qu'il y avait des trous dans les semelle, puis, l'obstacle étant franchi, réunit et ressouda toutes les radicelles pour en former une racine unique et homogène.