Robert Earl

Trois romans en un : Première partie : un classique de littérature maritime (recrutement, traversée, tempête, monstre marin) , puis un récit d'exploration (jungle, civilisation perdue, recherche d'un trésor , moustiques ) et enfin un roman de fantasy : des hommes (Kislévites,Tiléens, Bretonnien, mage céleste, prêtre guerrier ) et des nains contre les Slanns ,les hommes lézards (Skinks, Saurus, Mage crapaud et dinosaures) . De l'action , de l'exotisme , du sang ...C'est bien fait et ça se lit avec plaisir.

Un recueil de nouvelles, le premier de la gamme... Eh bien, les nouvelles sont de niveaux différents. Certaines sont très intéressantes et d'autres sont... décevantes. On y rencontre des vampires, des skavens, des monstres en tout genre et surtout l'ambiance du Vieux Monde, sombre, cruel et glauque...
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A chaque fois que je lis un nouveau roman de Fantasy, j'ai l'impression que ce sera le pire. Les Rivages Brûlants repousse encore les limites de la médiocrité.



Préparez-vous à suivre une aventure sans la moindre intrigue, digne d'un premier jet de jeu de rôle par un auteur sans une once d'imagination. Les personnages sont tous creux. Leurs dialogues sonnent faux. Ils vont en Lustrie pour... fuir...ou gagner de l'argent. Et puis voilà.



Mais le PIRE, c'est la qualité de l'écriture. Lunaire. On entre dans les abysses de la nullité. Tout sonne faux. Tout. Des phrases sans queue ni tête, avec des structures binaires, des mots mal utilisés jusqu'au contresens, des comparaisons à la limite du pur nanar.



Reste le rythme. Déséquilibré, et incapable d'insuffler le moindre soupçon de suspens ou de peur.



Bref, une nouvelle démonstration de l'absence de respect des éditeurs pour les lecteurs de fantaisie.