Ces lambeaux de murs déchiquetés, torturés, qui ne protègent plus personnes ; ces fils électriques qui ne servent plus à rien ; ces rails de tramway qui ne mènent nulle part ; ces enseignes de magasins fantômes, font d'Oradour-sur-Glane une ombre oppressante. Quel rapport y a-t-il entre ces vestiges de désolation et un bourg plein de vie ? Aucun sinon le résultat de la folie meurtrière de l'homme.