C'est bien ce que je craignais, dit-il, ils ont enlevé au texte rabelaisien tout ce qui en fait la saveur. Ils ont remplacé la langue colorée du seizième siècle par la fadeur et la pudibonderie du français moderne. Vous savez ce qu'il advient des contes du Blagaïre quand on veut les traduire en français ? Ils perdent tout leur sel.