Travail entre tolérance et clandestinité ; entre vol et dû… entre labeur et loisir… entre habitudes et transgressions… entre différenciation et appartenance au groupe… Pour saisir la « perruque », il faut pouvoir, en somme, concevoir ce que les organisations humaines, mêmes les plus rationalisées comportent d’interstices. C’est précisément dans ces espaces interstitiels du travail que se glissent les « perruqueurs »