Ce désir d'assouvir tous les désirs (ou d'en inventer), d'expérimenter tous les délices et tous les vices fait songer à certains courants de la gnose qui fleurissaient aux époques antonine et sévérienne. Si Héliogabale n'était pas le grand-prêtre du bétyle émésien, on serait presque tenté de le croire et de le dire carpocratien.