Le problème qui se pose au pilote en phase d’atterrissage, cette nécessité d’éviter les désastres opposés de la mer et de la montagne, est comme une métaphore des difficultés quotidiennes que comporte le fait de vivre dans l’Île en général, dans la Ville en particulier – une Ville qui non seulement est la capitale de l’Île, mais qui en est aussi une sorte de paroxysme grandiose.