« Depuis que je te connais, tu me rappelles ce poème. Surtout le passage qui dit : ‘Les mots ne sont pas assez profonds pour contenir mon amour. Je me tais et repousse mon adoration, de peur que la passion ne m’enchaîne.’ Les mots d’un autre, issus de la bouche d’un autre. Je regrette qu’ils ne soient pas de moi. »