Les femmes de chez moi, en tout cas. Voilà ce que je réponds intérieurement à Matthew. Sauvages. Ridicules. Seules dans leur maison. Un vent frais s’engouffre sous le calicot de ma robe, me lèche les cuisses. Et moi ? À quelle maison j’appartiens ? À quel pré ? Les grillons stridulent de plus belle, partout. Toujours ce même vieux, très vieux chant d’amour.