Un instant après, je pus voir un cavalier nu chevauchant un cheval sans crinière, l'un et l'autre d'une pâleur mortelle. ils se dirigeaient droit sur moi. Le cavalier brandissait une épée blanche comme un os ; ses yeux, comme ceux de son cheval, rougeoyaient pareils à des braises. Son apparence était si irréelle que j'ignorais s'il me voyait et si nous existions sur la même ligne spatio-temporelle. Je dégainais Grayswandir et reculai d'un pas.