- Gel ?
- Allô Béta. Ecoute ceci : « De loin, du soir et du matin, et de ce ciel aux douze vents là-haut, ce qui fait la vie est venu ici pour me former : me voici. »
- Je connais ce poème, dit Béta.
- Alors, quelle est la suite ?
- « ... Maintenant, le temps d’un souffle je m’attarde, avant de me disperser... Vite, prends ma main et dis-moi ce que tu as dans le cœur. »
- Ton pôle est froid, dit Gel, et je me sens seul.