À quoi m'a servi la contemplation de la mort ? Je peux maintenant y répondre : à m'empêcher de vivre. Mais pour être franc, je n'ai jamais demandé à la vie que de me laisser effleurer par elle, sans la sentir passer. Je n'ai jamais rien demandé l'amour que de rester toujours un rêve lointain. Toute action est un crime, pensais-je, car toute action est un rêve de mort.